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New Issue of the Canadian Law Library Review / Nouveau numéro de la Revue canadienne des bibliothèques de droit

16 May 2021 9:54 AM | Michel-Adrien Sheppard (Administrator)

Le texte français suit.

The most recent issue of the Canadian Law Library Review (CLLR) is available online. The CLLR is the official journal of the Canadian Association of Law Libraries (CALL). It is an open access publication.


You can browse the regular sections of books reviews, bibliographic notes, local and regional updates, as well as news from the UK, the US and Australia.

And be sure to check out the feature articles: 

  • "The Law Librarian’s Role in Reconciliation", Alexi Fox, p. 11:

    “Reconciliation is an effort that must be taken by all professions if the harm that colonization did to the Indigenous Peoples who reside in what is now Canada is to be truly rectified. For the legal profession, an aspect of reconciliation is recognizing Indigenous law as a legitimate source of law alongside common and civil law. Law librarians have their place in this, as they now have the duty to become familiar with the sources of Indigenous law, and how to find them, if they are to support the legal community in taking this step. To do this requires turning current thinking on its head: customs and traditions need to be embraced as valid sources of law, just as statutes and acts are. While finding these sources will require creativity and ingenuity on the part of the law librarian, it is necessary to do so if they are to take an active role in reconciliation.”

  • "Artificial Intelligence and Access to Justice: A New Frontier for Law Librarians", Laura Viselli, p. 17:

    “Artificial Intelligence (AI) has created new tools for legal research and changed the law librarian’s role. In addition, it has been suggested that AI will have a positive effect on Access to Justice (A2J), the lack of which is a significant issue in Canada. Despite this positive viewpoint, biases in systems using AI—be they related to access to resources, user ability, or the inherent biases in data—are likely to perpetuate the digital divide rather than ameliorate it. These biases undermine the ability of the most vulnerable members of society to benefit from A2J tools, despite the fact they are the ones who need them most. Bringing these discussions together demonstrates how law librarians can take their evolving responsibilities and blend their passions for technology and A2J initiatives to ensure these technologies get into the hands of those who are in dire need. Law librarians are among the best suited to stand guard against proponents of AI interventions who will rush to bring products to the market that Canada’s most vulnerable cannot access, afford, or understand. Law librarians can facilitate equitable A2J in Canada using AI by being reliable educators, experienced researchers, meticulous consultants, and relentless advocates for those in most need.”

Le numéro le plus récent de la Revue canadienne des bibliothèques de droit (RCBD) est maintenant disponible en ligne. La RCBD est la revue officielle de l'Association canadienne des bibliothèques de droit. C'est une publication en libre accès.


Vous pouvez consulter les recensions de livres, la chronique bibliographique, les mises à jour locales et régionales de même que les nouvelles des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'Australie.

Et ne manquez pas les nouveaux articles de fond:
  • "The Law Librarian’s Role in Reconciliation", Alexi Fox, p. 11:

    La réconciliation est un effort qui doit être entrepris par toutes les professions si l’on veut, que le tort causé par la colonisation aux peuples autochtones qui résident dans ce qui est aujourd’hui le Canada, soit vraiment réparé. Pour la profession juridique, il s’agit notamment de reconnaître le droit autochtone comme une source légitime de droit, au même titre que la common law et le droit civil. Les bibliothécaires juridiques ont leur place dans ce processus, car ils ont maintenant le devoir de se familiariser avec les sources du droit autochtone et la façon de les trouver, s’ils veulent aider la communauté juridique à franchir cette étape. Pour ce faire, il faut renverser la pensée actuelle : les coutumes et les traditions doivent être considérées comme des sources de droit valables, au même titre que les lois. Trouver ces sources exigera de la créativité et de l’ingéniosité de la part des bibliothécaires juridiques, mais il est nécessaire de le faire s’ils veulent jouer un rôle actif dans la réconciliation. [sommaire]

  • "Artificial Intelligence and Access to Justice: A New Frontier for Law Librarians", Laura Viselli, p. 17:

    L’intelligence artificielle (IA) a créé de nouveaux outils pour la recherche juridique et a modifié le rôle du bibliothécaire juridique. De plus, il a été suggéré que l’IA aura un effet positif sur l’accès à la justice (A2J), dont le manque est un problème important au Canada. Malgré ce point de vue positif, les biais des systèmes utilisant l’IA, qu’ils soient liés à l’accès aux ressources, à la capacité de l’utilisateur ou aux biais inhérents aux données, sont susceptibles de perpétuer le fossé numérique plutôt que de l’améliorer. Ces biais sapent la capacité des membres les plus vulnérables de la société à bénéficier des outils de l’A2J, alors qu’ils sont ceux qui en ont le plus besoin. La réunion de ces discussions montre comment les bibliothécaires juridiques peuvent assumer leurs responsabilités en constante évolution et combiner leurs passions pour la technologie et les initiatives d’accès au droit pour s’assurer que ces technologies se retrouvent entre les mains de ceux qui en ont le plus besoin. Les bibliothécaires juridiques sont parmi les mieux placés pour se tenir à l’écart des partisans des interventions de l’IA qui se précipiteront pour mettre sur le marché des produits auxquels les plus vulnérables du Canada ne peuvent avoir accès, qu’ils ne peuvent se permettre ou qu’ils ne peuvent comprendre. Les bibliothécaires de droit peuvent faciliter l’accès équitable à la justice au Canada (aux outils utilisant l’IA) en étant des éducateurs fiables, des chercheurs expérimentés, des consultants méticuleux et des défenseurs acharnés de ceux qui en ont le plus besoin. [sommaire]

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