Five Questions with Julie Boon

12 Feb 2021 3:11 PM | Anonymous


Julie Boon, Reference Librarian | Great Library, Law Society of Ontario, Toronto

1. Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry. 

I have an undergraduate honors specialization in history from King’s University College, affiliated with Western University in London, Ontario (where I am from). Going into my undergraduate degree, I certainly did not know what I wanted to do with a history degree, I just hoped that studying something I loved would get me somewhere professionally that I would love too. As luck would have it, it worked!

I didn’t get into the legal information industry right away, and in fact, that wasn’t even on my radar. I was very certain I would be going into public librarianship. I held down a couple of jobs at a couple academic libraries while attending U of T for my master’s in information. During the summer of my first and second year, I worked at the Ministry of Attorney General library. I had never worked in a legal environment before and hadn’t taken a class in law since high school! However, I had some awesome colleagues who helped me along the way and showed me the ropes.

My job at the MAG gave me a sense of how challenging and exciting the legal industry could be and encouraged me to apply for my current job at the Law Society of Ontario’s library – the Great Library – as a reference librarian. Again, I have been incredibly fortunate to meet some really great mentors here, and love working at a job that constantly challenges me to learn new things and create valuable content.

2. How has being involved in CALL helped you professionally? 

CALL has helped me professionally in that I have met some really, really great people through the organization. Whether it was through the CALL mentorship program or the CALL Conference in 2019, it has given me the opportunity to meet amazing professionals I otherwise may not have crossed paths with. Recently, CALL has acted as a balm to the isolation and disconnect that the pandemic has brought into everyone’s lives in some way. Attending virtual conferences and tutorials has maintained my feeling of connection to the legal industry and its professionals, which has been a huge relief.

3. What was your first library-related job? 

While I was attending King’s University College, I applied for a job posting at the London Public Library. I had never worked in a library before, but I had worked at Chapters for a couple of years and knew that I loved being surrounded by books and people who loved books. I was lucky enough to land that position at LPL, and absolutely loved every second I worked there. From then on out, I knew that I would be pursuing a job in library sciences.

4. What is one piece of advice you’d give to someone looking to break into the legal information industry?

Don’t be intimidated! There is a lot to learn, but it’s kind of great in a lot of ways to be working in an industry where there is so much to know and understand – it never gets boring! Plus, it’s important to remember that even if you don’t remember every legal concept, term or piece of jargon off the top of your head, it doesn’t mean that you’re bad at your job, or not learning quick enough. Far from it! There is a vast ocean of legal information in the world, and even those legal professionals who have worked in the industry for years and years still need refreshers from time to time. Just remember that there are people out there, like your colleagues, who are probably happy to lend a helping hand!

5. What is your greatest professional success? 

My greatest professional success would definitely be taking the plunge and entering the legal information industry in the first place. Entering special libraries was not on my horizon mentally, and I wasn’t sure I was cut out for the legal world which I viewed as very big and very scary. Even though I do have those moments of feeling a little overwhelmed over all there is to learn, I’m really proud of myself for putting in the work to become attuned to an industry to which I was completely and utterly new. I’d like to say I’ve done a pretty good job so far and look forward to learning more and improving more as I go forward in my career.

Member Profile nominations and Project Profile ideas are welcome for 2021. Please email Alexandra Farolan at afarolan@courthouselibrary.ca for more information, ideas, and nominations.

Julie Boon, bibliothécaire de référence | Grande bibliothèque, Barreau de l’Ontario, Toronto

1. Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique. 

Je possède un baccalauréat spécialisé en histoire du King’s University College, qui est affilié à l’Université de Western Ontario à London (d’où je suis originaire). Je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire avec un diplôme en histoire en commençant mes études. J’espérais juste quand étudiant quelque chose que j’adorais cela me mènerait vers une carrière que j’aimerais aussi. Le hasard fait bien les choses, et ma stratégie a fonctionné!

Je ne me suis pas lancée tout de suite dans l’information juridique et, en fait, ce domaine ne faisait pas partie de mes plans (j’étais sûre que j’allais travailler en bibliothéconomie publique). J’ai occupé quelques emplois dans des bibliothèques universitaires pendant mes études de maîtrise en science de l’information à l’Université de Toronto. Au cours de l’été de mes deux premières années de maîtrise, j’ai travaillé à la bibliothèque du ministère du Procureur général (MPG). Je n’avais jamais travaillé dans un milieu juridique et mon dernier cours en droit remontait au secondaire! Cependant, j’ai eu la chance de travailler aux côtés de collègues formidables qui m’ont aidée en m’apprenant le métier.

Mon travail au MPG m’a ouvert aux possibilités de carrière stimulantes et passionnantes dans le secteur juridique et c’est ce qui m’a poussé à postuler pour l’emploi que j’occupe actuellement à la bibliothèque du Barreau de l’Ontario – la Grande bibliothèque – à titre de bibliothécaire de référence. Encore une fois, j’ai eu l’occasion rêvée de rencontrer des mentors vraiment formidables dans le cadre de mon travail, et j’adore travailler dans un milieu qui me pousse à apprendre de nouvelles choses chaque jour et à créer du contenu intéressant.

2. En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel (p. ex. bourses et subventions, formation continue, réseautage)? 

L’ACBD/CALL m’a aidée sur le plan professionnel en me donnant la possibilité de rencontrer des gens remarquables. Que ce soit par l’intermédiaire du programme de mentorat de l’association ou de son congrès annuel en 2019, ces activités m’ont donné l’occasion de rencontrer des professionnels extraordinaires que je n’aurais probablement jamais rencontrés. Récemment, l’ACBD/CALL a agi comme un baume pour rompre l’isolement et la coupure causés par la pandémie que chacun vit différemment. Le fait de participer à des conférences et des formations virtuelles m’a permis de maintenir mon sentiment d’appartenance au secteur juridique et à ses professionnels, ce qui a vraiment fait du bien pour le moral.

3. Quel a été votre premier emploi ou votre premier emploi lié à la bibliothéconomie? 

Pendant mes études au King’s University College, j’avais postulé à un poste à la bibliothèque publique de London. Même si je n’avais aucune expérience de travail dans une bibliothèque, j’avais travaillé chez Chapters pendant quelques années et je savais que j’aimais être entourée de livres et de personnes qui adorent les livres. J’ai eu la chance de décrocher ce poste, et j’ai bien aimé chaque seconde de mon expérience. À partir de ce moment-là, je savais que j’allais travailler dans le domaine de la bibliothéconomie.

4. Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui cherche à percer dans l’industrie de l’information juridique? 

Ne vous laissez pas intimider! Même s’il y a beaucoup de choses à apprendre, travailler dans un secteur où il y a tellement de choses à savoir et comprendre est fantastique à bien des égards – on ne s’ennuie jamais! De plus, il est important de se rappeler que même si on ne se souvient pas spontanément de chaque concept, terme ou jargon juridique, cela ne signifie pas que vous n’êtes pas à votre place ou que vous n’apprenez pas assez vite. Loin de là! Le monde regorge d’un vaste océan d’informations juridiques, et même les professionnels juridiques de longue date doivent encore suivre des cours de recyclage de temps à autre. N’oubliez pas qu’il y a des gens, comme vos collègues, qui seraient probablement heureux de vous donner un coup de main!

5. Quelle est votre plus belle réussite professionnelle? 

Ma plus belle réussite professionnelle serait sûrement d’avoir fait le saut dans le domaine de l’information juridique. Je ne pensais pas travailler dans les services bibliothécaires spécialisés, et je ne savais pas trop si j’étais faite pour le travail dans le milieu juridique (que je jugeais immense et intimidant). Même si je me sens parfois un peu dépassée par toutes les choses qu’il y a à savoir, je suis très fière d’avoir effectué le travail nécessaire afin de m’adapter à un secteur entièrement nouveau. Je tiens à dire que je me débrouille très bien jusqu’à maintenant et que j’ai hâte d’en apprendre davantage et de m’améliorer au fil de ma carrière.

Nous acceptons les propositions pour les blogues Profil de membres et Profil de projets en 2021. Pour obtenir de plus amples informations ou proposer une idée ou une candidature, n’hésitez pas à envoyer un courriel à Alexandra Farolan (afarolan@courthouselibrary.ca).

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