Five Questions with Jennifer Walker

17 Jul 2015 3:24 PM | Deleted user

Jennifer Walker
Head Librarian, County of Carleton Law Association

Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

I entered the legal information profession directly out of grad school, which I completed at Dalhousie’s School of Information Management. In my last semester, there was a course on legal librarianship taught by the then-Head of the Law Library, Ann Morrison. I thought she was just wonderful, and she made legal librarianship sound like a pretty great job! I definitely liked the research element and had already been more interested in special libraries. I am very fortunate that an entry-level reference librarian and cataloguing job opened up at my organization just as I was graduating.  I’ve been happy to be here, and to take on increased responsibility, for over 7 years now. Prior to all that, I did my undergraduate degree in history (I really do love research), as well as a Bachelor of Education with an emphasis in teaching high school students. While high school can be a lot of fun, I am very happy I made the decision to pursue librarianship instead.

How has being involved in CALL helped you professionally?

CALL has been incredibly beneficial to me as a librarian. Starting in law libraries directly out of school, there was a lot to learn and a whole new world of colleagues to meet. I very quickly became involved with CALL and have learned so much from the educational opportunities I’ve had at the conferences, through my NELI grant in 2010, and from truly welcoming, kind, and smart colleagues. This is a profession where having someone to contact for help or to bounce ideas off of is of immense benefit, and CALL has enabled me to make those connections and build a solid network of other legal information professionals.

What are three things on your bucket list?

I absolutely love to travel, so my mind immediately goes to the places I’d like to visit and things to see & do there. I would love to visit Oxford, England and see both the city and the University. You can only watch so many hours of Inspector Morse without actually going there, and I believe I’m at my limit! I would also love to visit Istanbul. There is so much that would be wonderful to take in there, such as the Grand Bazaar, and visiting Hagia Sofia and the Blue Mosque. Closer to home, I would absolutely love to visit Vancouver, and experience that West coast culture we hear so much about in Ontario.  It seems like I might be getting my wish on that for CALL 2016!

What’s one change in the profession or industry you’ve embraced?

I don’t believe it’s so much a change in the industry but certainly in my role and my organization, and that is an increased responsibility for providing legal research instruction. I come from an education background, but I never thought I would draw on that skill set as much as I have in the last three years of being a librarian. It’s exciting for me to lead training sessions, and I think providing these sessions to our clients presents real value for our library and demonstrates what we can do beyond simply being there to answer questions.

What was your first job or your first library-related job?

My first library-related jobs were all student jobs in various archives or records departments. My first actual job, however, was when I was 15, at a movie theatre. That job taught me an incredible amount about customer service and really formed my ethic for working with clients which I still believe in today. Fortunately, my job doesn’t currently involve standing in front of a cinema full of people asking them to turn off their pagers and phones, though that perhaps foreshadowed the more “Shhh!” side of librarianship!

Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.

Je suis entrée dans la profession de l’information juridique dès la fin de mes études supérieures, que j’ai effectuées à l’École de gestion de l’information de Dalhousie. Pendant mon dernier semestre, on offrait un cours de bibliothéconomie juridique qui était enseigné par la directrice de la bibliothèque de droit de l’époque, Ann Morrison. Je la trouvais absolument fantastique, car elle nous présentait la bibliothéconomie juridique comme un travail très intéressant! J’aimais résolument l’élément de recherche, et je m’étais déjà intéressée davantage aux bibliothèques spécialisées. J’ai eu beaucoup de chance, puisqu’un poste de bibliothécaire de référence et de catalogage de premier échelon s’est ouvert au sein de mon organisation à la fin de mes études. Je suis très heureuse ici depuis plus de sept ans maintenant, et je suis ravie d’assumer des responsabilités accrues. Auparavant, j’ai effectué des études de premier cycle en histoire (j’aime vraiment la recherche), et j’ai obtenu un baccalauréat en éducation, avec un intérêt particulier pour l’enseignement auprès des élèves du secondaire. Bien que l’enseignement au secondaire puisse être très agréable, je suis très heureuse d’avoir pris la décision de me diriger plutôt vers la bibliothéconomie.

En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

L’ACBD/CALL a été incroyablement utile pour moi, en tant que bibliothécaire. Comme j’ai commencé dans les bibliothèques de droit directement après mes études, j’avais beaucoup à apprendre et un tout nouveau groupe de collègues à rencontrer. J’ai très rapidement participé aux activités de l’ACBD/CALL, et j’ai appris beaucoup grâce aux possibilités éducatives qui m’ont été offertes dans le cadre des congrès, grâce à ma subvention du NELI en 2010 et auprès de collègues vraiment chaleureux, sympathiques et intelligents. La bibliothéconomie est une profession où le fait d’avoir une personne à qui demander de l’aide ou soumettre des idées représente un avantage énorme, et l’ACBD/CALL m’a permis d’établir ce type de liens et de me bâtir un réseau solide avec d’autres professionnels de l’information juridique.

Indiquez trois choses qui figurent dans votre liste du cœur.

J’adore voyager; mon esprit se rend donc immédiatement dans les lieux que j’aimerais visiter, et découvre les choses à voir et à faire dans ces endroits. J’aimerais visiter Oxford, en Angleterre, et voir la ville et l’université. Il y a une limite au nombre d’épisodes d’Inspecteur Morse qu’on peut visionner sans s’y rendre en personne, et je crois que j’ai atteint la mienne! J’aimerais également visiter Istanbul. Il y a tellement de découvertes magnifiques à faire là-bas, comme le Grand Bazar, la basilique Sainte‑Sophie et la Mosquée bleue. Plus près d’ici, j’adorerais voir Vancouver, et découvrir la culture de la côte ouest dont nous entendons beaucoup parler en Ontario. Je pourrai peut-être réaliser mon souhait lors du congrès 2016 de l’ACBD/CALL!

Y a-t-il un changement relatif à la profession ou à l’industrie auquel vous vous êtes adaptée?

Je ne crois pas qu’il s’agisse tellement d’un changement relatif à l’industrie, mais plutôt d’un changement lié à mon rôle et à mon organisation, c’est-à-dire une responsabilité accrue concernant l’enseignement en matière de recherche juridique. Je viens du milieu de l’enseignement, mais je n’aurais jamais cru me servir autant de cet ensemble de compétences au cours des trois dernières années dans le cadre de mes fonctions de bibliothécaire. C’est passionnant pour moi de diriger des séances de formation, et je crois que le fait d’offrir ces séances à nos clients représente une valeur réelle pour notre bibliothèque et montre ce que nous pouvons faire au-delà de simplement être là pour répondre aux questions.

Quel a été votre premier emploi, ou votre premier emploi dans le domaine de la bibliothéconomie?

Mes premiers emplois liés à la bibliothéconomie étaient tous des emplois pour étudiants au sein de divers services d’archives ou de dossiers. Cependant, mon premier emploi réel était dans un cinéma lorsque j’avais 15 ans. Ce poste m’a énormément appris au sujet du service à la clientèle et a vraiment formé mon éthique de travail avec les clients, à laquelle je crois encore aujourd’hui. Heureusement, mon emploi actuel ne m’oblige pas à me tenir debout devant une salle de cinéma remplie de gens pour leur demander d’éteindre leurs téléavertisseurs et leurs téléphones, même si cet aspect laissait peut‑être entrevoir le côté plus « Chuuuut » de la bibliothéconomie!

 

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